En raison de la pandémie de COVID-19, les dentistes et les orthodontistes ont dû prendre des mesures afin de limiter la propagation du virus dans leurs cliniques. Des protocoles ont donc été mis en place pour la sécurité de tous et de toutes. Cependant, le personnel des cliniques a aussi besoin de votre collaboration.
Nous vous demandons de vous renseigner sur les mesures à suivre lors de votre prochaine visite et de ne pas vous présenter si vous êtes atteint ou atteinte de la COVID-19, si vous avez des symptômes s’apparentant à la COVID-19 ou si vous avez été en contact avec une personne qui est ou pourrait être atteinte de la COVID-19.
Merci de votre compréhension et de votre coopération en ces temps difficiles.
L’équipe Bücco et ses membres dentistes et spécialistes
Un des objectif de traitement d’une majorité de traitements orthodontiques est de tenter d’obtenir ou de s’approcher d’une occlusion ayant les caractéristiques d’une occlusion “classe 1” car un tel agencement de dents représente habituellement le meilleur équilibre pouvant permettre d’avoir une occlusion qui sera fonctionnelle, optimale, idéale et normale. Ainsi, lorsque c’est possible et que les bonnes conditions sont présentes (croissance, coopération du patient, dentition et parodonte de qualité, etc.) nous tentons de “convertir” les malocclusions de type classe 2 et classe 3 en occlusion ayant le plus de caractéristiques possibles d’une “classe 1)… (mais ceci est une explications très simplifiée des objectifs de traitements orthodontiques).
Il serait donc logique de penser que, lorsque la relation des dents postérieures est déjà en classe 1 au début d’un traitement, le traitement orthodontique sera plus simple que si cette relation était une classe 2 ou 3. En théorie, ceci est souvent le cas, mais il y a toujours des exceptions car la “classification” (1, 2 ou 3) d’une malocclusion n’est qu’un seul des nombreux aspects à considérer dans l’évaluation d’une occlusion. Il est vrai que la plupart du temps il est plus simple et rapide de corriger une “classe 1” que les autres types de malocclusions. De tels traitements peuvent être souvent très rapides, spectaculaires et efficaces. Il existe aussi l’autre bout du spectre ou des classes 1 sont complexes au point de nécessiter des extractions dentaires et des chirurgies orthognathiques à cause d’asymétries, de manque d’espace sévère, de déséquilibre squelettique importants, etc.
Cette section a pour but de montrer divers cas de malocclusions classe 1 traitées en orthodontie. La plupart de es cas sont simples. Certains cas sont même très simples et ont pu être corrigés en quelques mois seulement. Parfois la motivation du patient n’était qu’esthétique mais elle souvent elle était fonctionnelle. D’autres cas plus complexes on pu nécessiter des extractions, des traitement s beaucoup plus long et même une chirurgie orthognathique.
Exemple de cas clinique - Exemple de traitement de malocclusion classe 1 (1) #11963
Exemple de cas clinique - Exemple de traitement de malocclusion classe 1 (1) #11963
Adolescente de 14 ans.
(A) Malocclusion dentaire de type classe 1 (classe I) avec manque d’espace modéré et les canines supérieures non fonctionnelles. L’arcade supérieure est légèrement étroite.
(B) Corrections orthodontiques sans extractions. La forme des arcades a été harmonisée et de l’espace a été créé pour loger les canines supérieures et les rendre fonctionnelles. Les contacts postérieurs verticaux s’ajusteront avec le temps et l’engrenage des dents s’améliorera. (Photos prises 2 semaines après la dépose des appareils correcteurs).